Ne plus rester court au putting

Le constat 1 : je reste le plus souvent à quelques centimètres du trou, donc le putt est manqué mais la ligne est bonne et le dosage pas si mauvais .

Le constat 2 : on ne peut se mentir à soi même, donc toutes les techniques (néanmoins justes) du genre : "se dire que je veux arriver au delà du trou", "la vitesse à l'entrée du trou doit être au moins comme ci comme ça", cela ne fonctionne pas (pour moi) parce que mon cerveau sait ce que mes yeux lui ont dit et n'acceptera aucun autre but.

La question : quelle motivation visuelle vraie va générer de dépasser le trou ?

La boîte de balle devant la balle .

à 1-4m c'est facile a 8-10 et au delà c'est moins évident.

dans le premier cas sauf pente dangereuse c'est mauvais dans le second cas rester court c'est fréquent, on le remarque surtout quand on a la ligne.

donc tout dépend de quoi tu parles.

Un petit à l'entraînement: mettre un bâton d'alignement entre le trou et la balle qui va forer à mettre le petit de peps supplémentaire pour sauter le bâton. Un clud serait trop gros et forcerait une vitesse non réaliste.

Pensées :
Trop court on a l'impression d'être dans la ligne mais rien ne peut prouver le contraire
Trop court on a l'air bête, mais trop long ce n'est pas le cas

Au lieu de regarder le trou comme si c'était en 2D, essaie de "regarder" le fond du trou.

Def a écrit:essaie de "regarder" le fond du trou.

Donc toucher le fond avec les yeux ?

LJ te dirait que tout ce que l'on fait, on le fait à 103%, genre si tu veux toucher qulequ'un, un mur...on ne l'effleure pas, on le touche vraiment.

Donc normalement tu ne devrais pas être court, de rien.

Agathe a écrit:...si tu veux toucher quelqu'un, un mur...on ne l'effleure pas, on le touche vraiment...

je comprends l'idée, c'est intéressant. Il est possible que mon obsession de vouloir finir exactement dans le trou m’empêche de donner les derniers tours de roue.

Folgan a écrit:Le constat 1 : je reste le plus souvent à quelques centimètres du trou, donc le putt est manqué mais la ligne est bonne et le dosage pas si mauvais .

Le constat 2 : on ne peut se mentir à soi même, donc toutes les techniques (néanmoins justes) du genre : "se dire que je veux arriver au delà du trou", "la vitesse à l'entrée du trou doit être au moins comme ci comme ça", cela ne fonctionne pas (pour moi) parce que mon cerveau sait ce que mes yeux lui ont dit et n'acceptera aucun autre but.

La question : quelle motivation visuelle vraie va générer de dépasser le trou ?

Une piste :

Se mettre à 30/50 cms du trou sur le putting green est taper quelques putts bien en ligne qui rentrent avec une bonne allure en vont tourner au fond du trou,
"enregistrer l'image et le son particulier de cette balle qui arrive à vive allure au fond du trou".

Sur le parcours, une fois prêt à putter, ne penser à rien d'autre qu'à ce souvenir et au bruit de la balle qui tourne au fond du trou...

damien a écrit:

Une piste :

Se mettre à 30/50 cms du trou sur le putting green est taper quelques putts bien en ligne qui rentrent avec une bonne allure en vont tourner au fond du trou,
"enregistrer l'image et le son particulier de cette balle qui arrive à vive allure au fond du trou".

Sur le parcours, une fois prêt à putter, ne penser à rien d'autre qu'à ce souvenir et au bruit de la balle qui tourne au fond du trou...

OK mais valable sur des putts jusqu'à quelle distance? 30/50 cm facile...

En fait j'ai vu le post "Ne plus rester c..."
Ça m'intéressait.

Folgan a écrit:

Agathe a écrit:...si tu veux toucher quelqu'un, un mur...on ne l'effleure pas, on le touche vraiment...

je comprends l'idée, c'est intéressant. Il est possible que mon obsession de vouloir finir exactement dans le trou m’empêche de donner les derniers tours de roue.

OUI !

damien a écrit:

Folgan a écrit:Le constat 1 : je reste le plus souvent à quelques centimètres du trou, donc le putt est manqué mais la ligne est bonne et le dosage pas si mauvais .

Le constat 2 : on ne peut se mentir à soi même, donc toutes les techniques (néanmoins justes) du genre : "se dire que je veux arriver au delà du trou", "la vitesse à l'entrée du trou doit être au moins comme ci comme ça", cela ne fonctionne pas (pour moi) parce que mon cerveau sait ce que mes yeux lui ont dit et n'acceptera aucun autre but.

La question : quelle motivation visuelle vraie va générer de dépasser le trou ?

Une piste :

Se mettre à 30/50 cms du trou sur le putting green est taper quelques putts bien en ligne qui rentrent avec une bonne allure en vont tourner au fond du trou,
"enregistrer l'image et le son particulier de cette balle qui arrive à vive allure au fond du trou".

Sur le parcours, une fois prêt à putter, ne penser à rien d'autre qu'à ce souvenir et au bruit de la balle qui tourne au fond du trou...

Pas à vive allure, mais à la "bonne vitesse".
(Légère nuance)

> Ne pas avoir 'peur' de passer le trou
> Visualisation.

Suggestion : visualiser une aire circulaire autour du trou puis se concentrer ensuite sur le trou
Sur les longs putts j'essaie de faire ainsi pour la même raison

1pinpinarazu a écrit:Suggestion : visualiser une aire circulaire autour du trou puis se concentrer ensuite sur le trou
Sur les longs putts j'essaie de faire ainsi pour la même raison

Il y a quelques années, sur les longs putts, je fonctionnais un peu de la même manière.
Arrivé au stance, je me disais "Allez, à 50 cm du trou" (devant ou derrière), puis je regardais le trou et je puttais ET CA MARCHAIT!
Parfois un putt rentrait mais, au moins, je me retrouvais avec un second putt donné.

Never up , never in ...C'est l'intention et l'engagement qui compte . Je n'ai jamais putter " à mourir " . Pour moi traverser la balle le permet

Framboisine a écrit:Never up , never in ...C'est l'intention et l'engagement qui compte . Je n'ai jamais putter " à mourir " . Pour moi traverser la balle le permet

Framboisine a écrit:Never up , never in ...C'est l'intention et l'engagement qui compte . Je n'ai jamais putter " à mourir " . Pour moi traverser la balle le permet

Je parlais de LONGS putts.
À 7/8 m, tu ne putter pas à mourir dedans.
Quand tu puttes pour dépasser de 50cm et que ta balle termine à 5 m hors du green, tu es un peu échaudé.

Laurent Jockschies a écrit:

damien a écrit:

Folgan a écrit:Le constat 1 : je reste le plus souvent à quelques centimètres du trou, donc le putt est manqué mais la ligne est bonne et le dosage pas si mauvais .

Le constat 2 : on ne peut se mentir à soi même, donc toutes les techniques (néanmoins justes) du genre : "se dire que je veux arriver au delà du trou", "la vitesse à l'entrée du trou doit être au moins comme ci comme ça", cela ne fonctionne pas (pour moi) parce que mon cerveau sait ce que mes yeux lui ont dit et n'acceptera aucun autre but.

La question : quelle motivation visuelle vraie va générer de dépasser le trou ?

Une piste :

Se mettre à 30/50 cms du trou sur le putting green est taper quelques putts bien en ligne qui rentrent avec une bonne allure en vont tourner au fond du trou,
"enregistrer l'image et le son particulier de cette balle qui arrive à vive allure au fond du trou".

Sur le parcours, une fois prêt à putter, ne penser à rien d'autre qu'à ce souvenir et au bruit de la balle qui tourne au fond du trou...

Pas à vive allure, mais à la "bonne vitesse".
(Légère nuance)

D'un coup un exo que je faisais gamine me revient en mémoire.

Tu poses un club devant le trou à 1 cm, ya un sens, que le shaft soit bien posé au sol, forcément ça crée une résistance, et ça te force à appuyer un peu plus.

Bon entrainement pour les petits putts.