Fin de parcours difficile

Comme tous les ans, mes premières compétitions ne sont pas loin d'un bon score mais je m'ecroule sur les derniers trous.

Exemple :

GP de Brigode 1er tour : +4 départ du 14 et j'enchaine triple triple et double (bon là il y avait la pluie pour ne rien arranger) - Résultat +12

GP de Brigode 2ième tour : +4 départ du 16 et double au 16 et au 18 - Résultat +8

Compet ce we : +6 départ du 17 et triple au 17. Résultat +8

Bon je sais que je n'etais pas en position pour sortir des grosses cartes mais jamais j'aurais du jouer au dessus de 5

Manque de préparation physique ?

j'enchaine triple triple et double

Il faut analyser...
-techniquement : quelles trajectoires (et par rapport aux trous précédents), quel contact, le(s) club(s) utilisé(s), etc...
-psychologiquement : se rappeler de l'attitude mentale, des images...
-physiquement : état physiologique (fatigue, faim, soif...), quelles émotions...
On ne peut le faire à ta place !

Laurent

Sébastien
une analyse un peu superficielle mais oh combien de fois rencontrée auprès des joueurs coachés: la fin de parcours est très difficile lorsque le score est bon, et certainement encore plus difficile que lorsque le score est mauvais !

Un des symptome rencontré:
- bon score, on pense à une bonne carte. Projection dans le futur qui a pour résultat immédiat un double ou triple. Pourquoi ? Tu n'es peut être pas à la hauteur de ton jeu en début de saison, ce qui est normal. Paradoxalement tu va ajuster ton score à la valeur réelle de ton niveau actuel.
Solution: rééquilibrage des émotions pour contrer le stress provoqué par l'arrivée des derniers trous.

Il y a aussi d'autres d'ordre personnel comme psycho et physique mais aussi social (des spectateurs en fin de partie, il ne faut pas les décevoir !)

Je te comprends Seb. Personnellement, je me sens toujours bien...jusqu'au départ du 1.

Seb,

Le problème physique ne peut être exclu en début de saison ou on a peu de parcours dans les pattes, de même que le problème alimentaire: sans
entrainement d'endurance, l'organisme ne sait pas encore utiliser les stocks et l'hypo arrive plus tôt. Le niveau d'exigence physique étant peu élevé, jouer régulièrement 18 trous et manger ET BOIRE régulièrement pendant et des pates le veille devrait suffire à éliminer ce problème d'ici un mois.

Il m'est arrivé la même chose ce matin, lors d'une partie amicale sur l'Aigle. Ces derniers temps, pas de très bonnes choses sur les parcours. Petite rectification technique avec Michel samedi dernier, et volonté d'arrêter de penser technique sur le parcours.
Je me lance donc ce matin et ça se passe bien. Je me retrouve +11 au départ du 15, avec deux triples qui ne m'inquiètent pas vraiment (j'ai fait le tour du green du 11 en 3 sockets au wedge pour me retrouver 10 m plus loin que là où j'étais initialement, et faire alors approche putt. Même genre de scénario sur le 9) car liés à un problème technique survenu récemment et que je vais m'atteler à résoudre. Tout ça pour dire que ça va plutôt bien et que je suis content.
Ben j'ai fini par 4 doubles.

Alors.... Ben j'en sais rien.
Trop content, arrivé avant d'y être, ...
Problème physique? Pourtant, j'ai rien senti, même si j'ai porté le sac, ce que je ne fait pas habituellement.

Perso je pense que c'est vraiment au niveau mental (en tout cas dans mon cas) ...
L'autre jour j'ai l'opportunité de rentrer au club-house à 77 si je fais le par sur un par 3 très court (sur lequel je fais par 2 fois sur 3). Résultat je veux la jouer sécurité, petit bras, enfin contre-nature ! Résultat triple bogey et score de 80 !!! Quand j'ai vu mon pro je lui ai fait part de cette "déception" somme toute passagère (j'ai quand même jouer +7 !!) ... Et il me sort un vieux dicton anglais qui veut dire grosso modo ... Ne penses jamais à ta carte, penses au coup qui vient !!!

Mais j'aime bien l'argument physique car il est vrai que je me sentais un peu cassé sur la fin de parcours et je m'étais déjà pas mal arraché sur les 2-3 trous précédents.

Je pense que les barrières mentales se brisent au fur et à mesure et qu'on s'en donnent de nouvelles au fil de sa progression personnelle. Au début je me disais surtout qu'il ne fallait pas que je toppe, que je gratte ou que je swingue dans le vide. Ensuite une fois cette hantise gommée, on a qu'une envie c'est d'envoyer la balle à peu près dans la direction souhaitée et à la distance souhaitable. Une fois à peu près atteint cet objectif on commence à arriver sur du concret, du palpable ... Les 30 putts, le 79, les 3-4-5 birdies par tour ...

Alors y'a peut-être une question à se poser.Les barrières mentales que l'on se fixe inconsciemment ne nous permettent-elles pas justement de tirer le meilleur de nous même et dans l'absolu de constamment progresser ???

ma barriere psychologique -11 le record sur mon parcours

je reve d'afficher ma carte à la place du champion du club !!

Je pense que je suis encore léger sur mon golf. J'ai quasi pas joué sur les parcours de mi novembre à début avril. Donc les premières compet sont mes premiers parcours.

La première j'ai payé cher (le temps n'etait pas au RDV) et ensuite je joue +12, +8, +7 donc de mieux en mieux.

Cependant, je m'epuise sur le parcours à ratrapper les mauvais coups en faisant des chips putt ou en rentrant des putts de 4 m pour le par. Je pense que je puise beaucoup en début de partie sur mon capital et mon potentiel mental ce qui rend mes fins de parties délicates à gerer.

arnaud leroux a écrit:ma barriere psychologique -11 le record sur mon parcours

je reve d'afficher ma carte à la place du champion du club !!

C'est Brazillier qui a joué le - 11 ????

Chocko a écrit:

arnaud leroux a écrit:ma barriere psychologique -11 le record sur mon parcours

je reve d'afficher ma carte à la place du champion du club !!

C'est Brazillier qui a joué le - 11 ????

oui c'était lui (évidemment) mais son record c'est -10 (61) en 1999 je crois (ou même avant)

Jérémy Pollet a jouer -9 l'été dernier, le record a eu chaud !

Mais Arnaud voulant ce record, il lui faudra donc jouer -11
"il ne savait pas que c'était impossible, alors il l'a fait (dans ses rêves)"

un reve peut etre pas si lointain

j'aime les defis

c'est juste une question de temps , la volonté est la !!

et j'ai toute la vie devant moi