STAGE PUTTING PRO - DIMANCHE 30 MARS

Eric,

Comment expliques tu le bénéfice principal de ton stage avec LJ sur le putting ? Quel a été le déclic ?

Merci

Michel TEICHET a écrit:Eric,

Comment expliques tu le bénéfice principal de ton stage avec LJ sur le putting ? Quel a été le déclic ?

Merci

Une routine qui me va bien, notamment la phase de recherche du dosage. Le fait que lors du stage j'ai réussi à trouver un moteur dans les épaules (ce qui m'évite de me tortiller dans tous les sens) alors que je n'avais jamais réussi à le trouver. Le fait que je me suis rendu compte lors du stage que j'avais les yeux bien au-delà de la ligne de putt, ce que j'ai corrigé facilement et qui, je pense, améliore grandement mon alignement. Enfin, l'agressivité sur les putts courts. Voilà, pour la technique.
De plus, LJ nous a dit de ne pas chercher à rentrer la balle "volontairement", mais de laisser faire les choses en s'appliquant sur l'exécution (c'est résumé, mais en gros c'est ça). Ceci me permet d'être beaucoup plus décontracté, d'avoir moins peur de la conséquence (ou au moins de moins y penser).

Bien sûr, le stage n'est pas magique, j'avais pas mal bossé pendant la semaine et je me suis bien appliqué. De plus, je pense partir d'assez loin ...

Vu !

Merci de ta réponse.

bonsoir,
cette journée de putting était remarquable.
J'ai toujours eu au putting le problème de ne pas savoir comment m'entrainer.
Soit j'avais des sensations et je puttait "bien" -et donc il m'était difficile de me motiver pour en faire longtemps- soit aucune sensations et l'impossibilité de travailler quoi que ce soit.

Le petit insert, dont j'ai oublié le nom, que j'utilise très souvent depuis 2 mois, m'a déjà permis d'acquérir un putting beaucoup plus fluide et plus doux.

Ce que j'ai retenu ou plus précisément ce que j'ai découvert.
L'importance du grip - spécial - de putting, notamment la main gauche et le le fait de sentir la face du club avec la pulpe du bout des doigts de la main gauche, placée sur le bord du manche opposé à la face.
Ce qui peut nécessiter des grips non standard.....
Le put "de bras" , c'est à dire en ligne, opposé au put "d'épaules", c'est à dire intérieur square intérieur.
N'ayant jamais réalisé la différence, je faisais allègrement un mix des deux avec des résultats parfois étonnants.
La routine
les exercices, bien sur l'attaque défense, mais les exercices d'une main et à 3 balles.

Au delà de ces points techniques, c'est surtout une réflexion sur les paramètres à mettre en place ( pour ne plus trop y penser) et sur les exercices à faire pour ne se concentrer que sur les sensations.
Les conditions météo sur L'Europe septentrionale n'ont pas permis de parler assez de la lecture de green qui sont peut être à voir dans une deuxième phase et avec des greens plus torturés.

My 2 cents

JEAN

ptapon a écrit:Le put "de bras" , c'est à dire en ligne, opposé au put "d'épaules", c'est à dire intérieur square intérieur.

On a pas eu le même cours là ...

bsr

ks a dr

jn

ptapon a écrit:bsr

ks a dr

jn

ZZwxk

les francais parlent aux francais ...... je repete, les francais parlent aux francais ......

kesako , peut etre un virus !!!

Laurent Jockschies a écrit:

Tarif a écrit:

ptapon a écrit:Le put "de bras" , c'est à dire en ligne, opposé au put "d'épaules", c'est à dire intérieur square intérieur.

On a pas eu le même cours là ...

si, si, c ptpon qui fait une petite inversion tkt

ptapon a écrit:
bsr

ks a dr

jn

Qu'est ce à dire?

Je réagissais au "tkt", plus haut, que je n'ai toujours pas compris
JEAN

En langage sms/msn TKT = 'ne t'inquiète pas'

Lin a écrit:En langage sms/msn TKT = 'ne t'inquiète pas'

ah oui ! c'est pour initié quand même, je me sens hors planète tout à coup moi !!!!

Ha bon je croyais que ça voulait dire TackandTilt

Lin a écrit:En langage sms/msn TKT = 'ne t'inquiète pas'

Ce langage n'est pas autorisé sur le forum Laurent , nous sommes trop nombreux à ne rien comprendre à ce dialecte de décérébrés .

Ringeval a écrit:

Lin a écrit:En langage sms/msn TKT = 'ne t'inquiète pas'

Ce langage n'est pas autorisé sur le forum Laurent , nous sommes trop nombreux à ne rien comprendre à ce dialecte de décérébrés .

ptapon a écrit:


My 2 cents

JEAN

Bonjour, jean, moi pas comprendre...

Lin a écrit:En langage sms/msn TKT = 'ne t'inquiète pas'

je croyais que cela voulait dire
T'as qu'à travailler...

ptapon a écrit:bonsoir,


Ce que j'ai retenu ou plus précisément ce que j'ai découvert.
L'importance du grip - spécial - de putting, notamment la main gauche et le le fait de sentir la face du club avec la pulpe du bout des doigts de la main gauche, placée sur le bord du manche opposé à la face.
Ce qui peut nécessiter des grips non standard.....

JEAN

J'espère qu'on verra cela au Stage Médoc!!!

Faut vous mettre au language msn !!

Avant toute chose, je dois avouer que je me suis inscrite à cette 2^ejournée plus par souci de bien faire que par plaisir de putter, domaine technique qui m’a toujours peu attirée (engagement physique ?), dans lequel je n’avais quasiment aucune connaissance, et peu de prédispositions. Comme toujours avec Laurent, le stage a été super intéressant et super motivant. Depuis, c’est mon état d’esprit qui a changé. Rares sont les séances de practice où je ne vais pas sur le putting green une bonne demi heure pour travailler à la recherche de sensations (ben oui, avant je ne sentais rien au putting !) et (enfin !) à jouer à putter. Enfin, j’avoue n’avoir jamais aussi bien putté sur les 2 parcours joués depuis ce stage (Hé Tarif, est-ce que ça dure pour toi ?).

Retour un peu tardif et assez scolaire sur cette journée que LJ a conclue en énonçant les 4 raisons de l’échec au putting : 1 - mauvaise connaissance du mécanisme, 2 - mauvaise lecture du trou, 3 - mauvaise attitude mentale, 4 - mauvais putter.
Voici quelques notes que j’ai tenté de réorganiser en mettant au regard de chaque thème (en noir) les exercices effectués (en bleu - liste non exhaustive), beaucoup d’exercices étant multi objectifs, j’ai opté pour celui qui me paraissait prédominant.
I - Le mécanisme :
1 – L’orientation de la face du putter au moment de l’impact : permet aux éléments mécaniques de s’enchaîner harmonieusement. Il faut donc choisir la bonne orientation au début de la routine (lecture du green) mais veiller à ne pas se désorienter pendant la routine puis durant le BS. Pour conserver la bonne orientation : marquer sa balle à l’équateur et placer ce cercle perpendiculairement au chemin du club. Au moment de l’impact, la face du putter
doit revenir parallèlement à ce cercle.
2 – Le chemin de club : L’incidence du chemin de club sur la trajectoire de la balle étant liée à la durée du contact balle/club, ce paramètre a très peu d’influence sur la direction de la balle au putting (Sur les putts très longs ça doit commencer à jouer quand même ?). Travail en isométrie : placer un club au sol et putter sur un chemin en parallèle au club avec une résistance ( type sandow) et conserver la fin de DS 10 secondes,
lâcher puis putter à nouveau.
3 - Le point de contact : C’est le ciment qui relie l’ensemble des facteurs mécaniques. Pour identifier la zone idéale de contact de son putter, taper
sur la face du club avec un objet rigide et pointu et rechercher la zone où les vibrations disparaissent. La clé de réussite sur putt court est la justesse du point de contact. Marquer sa balle en un point, placer ce point à l’endroit de la zone de contact et chercher le contact le plus précis.
Un outil pédagogique super: le "Sweet spot clip" à coller sur la face du putter avec du double face (insert en plastique avec une proéminence au milieu. 3 modéles avec difficulté croissante. Cet outil réduit la zone de contact possible. Jouer 10 balles à 1 club du trou puis 10 balles les yeux fermés, comparer les scores, Jouer 10 balles en tournant autour du trou en restant à la même distance. Même avec le plus tolérant de ces inserts de malheur on se prend des sueurs froides.
4 - Le grip : On détermine 4 différentes zones dans la main sur lesquelles le club peut reposer. La zone 1 située vers la base des doigts permet une grande mobilité des poignets et la recherche de distance maximale, la 2 plus à l’oblique (équilibre entre précision et distance), la 3 entre lignes de cœur et de vie (favorise le contrôle – grip d’approche), la 4iéme, alignée sur ligne de vie (blocage des poignets) est la zone adaptée au putting.
La main gauche : responsable de la solidité du coup. Les 3 derniers doigts sont en opposition avec la paume et ne recouvrent pas le manche. Les points de pression sur le manche s’exercent au niveau des phalanges des ongles.
La main droite : la paume vient en contact avec le majeur de la MG, l’index de la MG vient par-dessus les 3 derniers doigts de la MD.
Les 2 mains sont symétriques et légèrement ouvertes l’une/ à l’autre se qui permet d’améliorer la connexion bras/buste.
Putter main gauche seule sans casser le poignet (direction). Putter main droite seule, le poignet peut jouer (dosage – distance)
Au moment de l’impact, il se produit une tension musculaire supplémentaire qu’il s’agit de neutraliser. Les mains ne sont jamais bloquées on doit les laisser réagir. Les doigts ne serrent pas le club, on doit sentir que la pulpe des doigts est à peine écrasée sur le manche. Viser une cible, enchaîner des mouvements pendulaires de putting, yeux fermés puis, sans s'arrêter faire placer une balle au sol et putter dans ce mouvement pendulaire.
Recommencer les yeux ouverts en cherchant à conserver la même sensation de relâchement.
5 - Les yeux :Sont au-dessus de la ligne de putt ou très légèrement en retrait, jamais en avant. L’œil directeur sur la balle. Poser la balle sur un CD et
visualiser lle positionnement de ses yeux dans le CD par rapport à la balle.
6 - Les sources de puissance : 2 sont actuellement utilisées, les bras ou les épaules (abandon des poignets). Bras : les 2 avants bras reposant sur un plan vertical se déplacent en parallèle et entraînent les épaules. Epaules : Le balancier des épaules (qui me parle beaucoup plus) actionne les bras. imaginer un pantin commandé par 2 ficelles reliées aux épaules et que l’on actionne l’une après l’autre (D qui monte puis G).
Sur les longs puts : les « putters d’épaule » vont accélérer le mouvement en conservant une amplitude de mouvement réduite, les "putters de bras" gardent le même rythme en augmentant l’amplitude du geste. Le club exerce un mouvement pendulaire. Il y a donc une même amplitude pour le BS et le DS. Tenir avec son putter un pendule fait d’un fil et d’une petite balle et effectuer des BS/DS sans s’arrêter et chercher à faire évoluer
putter et pendule en phase).
Il faut chercher à identifier la source de puissance qui nous convient le mieux et ne jamais mélanger les 2 sources de puissance. Faire
3 putts à 4 mètres du trou en puttant avec les bras puis avec les épaules. En ayant 2 types d’image, l’une centrée sur ses sensations (int) l’autre sur une action extérieure (ext). Pour le putt d'épaules (que j'ai mieux senti) : (ext) visualiser la tête club qui en oscillant monte - descend - remonte, (int): sentir la montée alternative des épaule D puis G.
Dosage de la puissance : Taper une balle (5m environ) puis en fermant les yeux rechercher la même distance avec 2 autres balles. Taper une balle puis sans regarder la cible, faire une + longue puis une intermédiaire. Pour avoir un rythme identique au BS et DS poser une pièce de monnaie sur le club et
frapper sans qu’elle tombe.
Pour éviter de gratter mettre une pièce de monnaie à la place de la balle et putter sans toucher la pièce (ça c'est pour les vraiment nazes au putting et j'y ai eu droit...).
II – La lecture du trou :
La routine: Se fier à son intuition première, huit fois sur dix c’est la bonne. Lire la ligne prendre un repère visuel en se plaçant derrière la balle (loin). Se placer à coté de la balle et doser la puissance (estimer la distance en ne regardant que le trou). Puis se placer, fixer le trou avec volonté et putter
sans swing d’essai. Peu d’exercices spécifiques sur ce thème et le suivant en raison je suppose du manque de temps (pour tout aborder, Laurent parle d’un stage de 3 jours).
III – l’attitude mentale :
Se placer très près du trou, à une distance où l’échec est exclu, putter, recommencer en prenant conscience de son attitude mentale et corporelle (relâchement, confiance) puis rechercher cette même attitude à différentes distances du trou. Visualiser un couloir de la largeur du trou qui relierait le trou à la balle. Imaginer faire venir le trou à soi puis faire rouler la balle dans ce couloir. Visualiser une cible plus large que le trou d'à peine une balle de chaque coté (zone qui atteinte, va quand même faire rouler la balle dans le trou). Outil : le réducteur de trou - deux cerceaux concentriquesqui réduisent la taille de la cible et ensuite reprendre la cible normale.
IV - Le putter
Doit être adapté à sa morphologie (hauteur taille du manche) et équilibré (là messieurs faudrait compléter). Y paraît qu'il faut éviter une certaine marque.....

Enfin, un jeu stratégique qui vous fera tout bosser l'attaque/défense : 2 joueurs - 5 putts maxi par joueur – un attaquant, un défenseur – alternance des rôles après chaque partie – coup exclusivement utilisé, le putting. Objectif : le défenseur doit empêcher l’attaquant de rentrer sa balle MAIS ne peut lui-même rentrer dans le trou. En dehors de cela, tous les coups sont permis.
Douche, contrôle antidoping, remise des médailles et mousses au bar....
My t.....
Paty

Merci pour cette description !!!

Je sais que je fais (au moins) 2 fautes de mécanique de putting :
- je serre trop le grip (surtout sur les putts courts)
- je mélange les 2 sources de puissances : BS avec épaules et bras G (chemin intérieur) , puis DS avec épaules qui commandent (et dos de la main G qui joue aussi un peu par réaction) (chemin presque droit : très légèrement intérieur).

Ceci dit, j'ai plutôt des pb de directions (putts entre 2 et 4m) que de distance, où je la "colle" au mât assez souvent...

Je suis passé au "Pure in line". Effectivement en étant bien au dessus de la balle, en mettant bien la face du putter bien square à la balle,mouvement pendulaire mes statistiques sont devenues nettement meilleures. Chez moi sur un putting green d'entraînement et à 2,30m je rentre 10 putts d'affilée sans problème, mon record est de 53 putts, ce n'était pas envisageable avant ce changement.

Rea a écrit:...Chez moi sur un putting green d'entraînement et à 2,30m je rentre 10 putts d'affilée sans problème, mon record est de 53 putts, ce n'était pas envisageable avant ce changement.

Belle performance !
Est-ce que tu utilises des outils pour avoir un feedback de ton mouvement ?

Moi aussi je suis en pure line le putting green est a 3.2m actuellement, Mouchy oblige, il sera plus rapide ces jours vers 3.5m !!!

J'ai fait aujourd'hui a 1.2m 93 putts sur 100 essais et ma plus longue serie a ete de 36

Arthurion a écrit:

Rea a écrit:...Chez moi sur un putting green d'entraînement et à 2,30m je rentre 10 putts d'affilée sans problème, mon record est de 53 putts, ce n'était pas envisageable avant ce changement.

Belle performance !
Est-ce que tu utilises des outils pour avoir un feedback de ton mouvement ?

Non, je fais tomber une balle de mon oeil gauche et qui touche ma balle à l'adresse. J'ai l'impression que mon putter monte à l'extérieur au BS et "je traverse" bien au DS.

Merci Paty pour ce post bien documenté et bien écrit - pour Shimano, c'est quand même plus agréable à lire qu'un post en langage SMS....

Pour conserver la bonne orientation : marquer sa
balle à l’équateur et placer ce cercle perpendiculairement au chemin du
club. Au moment de l’impact, la face du putter
doit revenir parallèlement à ce cercle.

Cependant, je ne comprends pas bien ce passage : ne veux-tu pas dire "perpendiculairement à la face du club"?

Merci pour ce retour Gérardvin !
Je veux bien dire "parallèle" à la face du club, donc perpendiculaire au chemin du club. Cet exo vise la bonne orientation de la face du club et non le chemin de celle-ci. Pour travailler ce deuxième point, on place effectivement la marque perpendiculairement à la face du club.
Paty

Géradvin a écrit

Cependant, je ne comprends pas bien ce passage : ne veux-tu pas dire "perpendiculairement à la face du club"?

J'ai bien retenu la même chose que Paty. ce qui est important c'est d'être square à l'impact.

Pour les moyens et long putts, la routine de LJ qui consiste à regarder le trou en faisant des gestes d'essais avec la main gauche (je suis gaucher) pour doser, a considérablement amélioré mes stats. Pas de 3 putts sur le dernier parcours.
Merci LJ

Paty a fait un gros cadeau au forum....

paty a écrit:

II – La lecture du trou :
La routine: Se fier à son intuition première, huit fois sur dix c’est la bonne. Lire la ligne prendre un repère visuel en se plaçant derrière la balle (loin). Se placer à coté de la balle et doser la puissance (estimer la distance en ne regardant que le trou). Puis se placer, fixer le trou avec volonté et putter
sans swing d’essai. Peu d’exercices spécifiques sur ce thème et le suivant en raison je suppose du manque de temps (pour tout aborder, Laurent parle d’un stage de 3 jours).

+1 avec Michel sur le cadeau.

Par contre, je suis un peu déçu sur la partie lecture du green, car à mon sens, c'est fondamental...
On peut avoir une bonne technique, si on ne sait pas lire un green, on ne saura pas bien putter !
C'est essentiel dans la trajectoire à donner à la balle et pour la vitesse...

damien a écrit:
On peut avoir une bonne technique, si on ne sait pas lire un green, on ne saura pas bien putter !
C'est essentiel dans la trajectoire à donner à la balle et pour la vitesse...

Je suis resté sur ma faim en lisant Pelz sur la lecture de green mais j'ai peut être raté quelque chose ou bien il faut être avec le pro sur le green pour apprendre... J'ai un vague souvenir que Pelz fait jouer les élèves avec son True-Roller sur une table inclinable pour leur donner une idée du break de la balle.

Gastel a écrit:

damien a écrit:
On peut avoir une bonne technique, si on ne sait pas lire un green, on ne saura pas bien putter !
C'est essentiel dans la trajectoire à donner à la balle et pour la vitesse...

Je suis resté sur ma faim en lisant Pelz sur la lecture de green mais j'ai peut être raté quelque chose ou bien il faut être avec le pro sur le green pour apprendre... J'ai un vague souvenir que Pelz fait jouer les élèves avec son True-Roller sur une table inclinable pour leur donner une idée du break de la balle.

Une ficelle attachée à 2 piquets suffisent:

Rea a écrit:

Gastel a écrit:

damien a écrit:
On peut avoir une bonne technique, si on ne sait pas lire un green, on ne saura pas bien putter !
C'est essentiel dans la trajectoire à donner à la balle et pour la vitesse...

Je suis resté sur ma faim en lisant Pelz sur la lecture de green mais j'ai peut être raté quelque chose ou bien il faut être avec le pro sur le green pour apprendre... J'ai un vague souvenir que Pelz fait jouer les élèves avec son True-Roller sur une table inclinable pour leur donner une idée du break de la balle.

Une ficelle attachée à 2 piquets suffisent:

ça suffit pour illustrer la ligne/vitesse à suivre, mais ça ne donne rien sur le comment bien lire la pente...

Ca doit quand même être le coup de golf qui demande le plus de filling, donc apprendre à lire une pente???
Parce que même si on te dis qu'une pente de tant de degré va faire dévier la balle de tant, il restera toujours les paramètres hauteur de tonte, humidité, sens de la coupe,...

Je pense qu'il faut en faire des tonnes pour ressentir la pente.
Après c'est clair qu'on peut décomposer le putt à faire.

damien a écrit:

Une ficelle attachée à 2 piquets suffisent:

ça suffit pour illustrer la ligne/vitesse à suivre, mais ça ne donne rien sur le comment bien lire la pente...[/quote]
Il essaie plusieurs options et le choix dépend de la vitesse que l'on donne à la balle. Cet exercice montre que le putt reste droit mais on a du mal à faire rentrer ça dans le cerveau ....sauf si on utilise la ficelle.

Sinon, pour être sur de vos progrès en Putting, il faut programmer un petit séjour sur St Omer... On y prépare le parcours pour l'open qui aura lieu mi-Juin.

SI j'avais des doutes sur mon niveau de putting, je n'en ai plus... 43 putts hier.... + 3 putts hors green, et 8 chips... un truc de fou... 54 coups au total sur 18 trous à 10/15m du mat....

C'est aussi beaucoup parce que tu n'es pas habitué à cette vitesse de green ...

jmtiger3 a écrit:C'est aussi beaucoup parce que tu n'es pas habitué à cette vitesse de green ...

Si c'est pour mi-juin ca ne doit pas etre deja des patinoires

jmtiger3 a écrit:C'est aussi beaucoup parce que tu n'es pas habitué à cette vitesse de green ...

C'est vrai, j'avais joué sur de greens hyper lents le Jeudi...

ça + la grosse difficulté de la lecture des pentes...
Pour apprendre à lire les pentes, c'est sur ce genre de parcours que ça se passe !

Là seule chose que j'ai appris hier, c'est que j'étais pas doué pour ça !

DZARDEN a écrit:

jmtiger3 a écrit:C'est aussi beaucoup parce que tu n'es pas habitué à cette vitesse de green ...

Si c'est pour mi-juin ca ne doit pas etre deja des patinoires

Les greens vont encore être peaufiné (il reste 3 semaines 1/2), mais déjà, je te promets qui'l y a du challenge là !
J'ose pas imaginer comment sont les greens pour l'open !