STAGE DE NOEL COACHINGOLF 2013

1) L'entraînement peut se dérouler sous plusieurs formes. La variation des cibles (mode jeu, adaptabilité rapide). Rester sur une cible (mode fixation, rendement, afin de bien mémoriser les paramètres d'exécution d'une situation jusqu'à son automatisation extrême.)

2) Le changement de clubs si tu utilises des clubs juxtaposés et que tu les tapes tous n'est effectivement pas d'une grande utilité. J'ai toujours fait (je schématise) Jour 1 : SW / 9i / 6i / Bois 3   Jour 2 : PW / 8i / 4i / Driver Jour 3...etc etc

3) Je choisis sur un parcours lorsque je m’entraîne dessus, 3 approches par green (dont au moins 1 bunker) et sur ces 3 approches j'en choisi 2 que je n'aime pas. Je joue chaque emplacement avec 5 balles / sans putter. Toujours pareil, on fixe en situation les paramètres d'exécution et notre Système Nerveux s'acclimate à la réalité. Beaucoup plus que ce qu'il ne fait sur des zones d'entraînement. Début de l'apprentissage émotionnel.

4) Quelque soit le niveau de pratique on a tous un plafond qui tombe vers le bas en douceur et que nous devons chaque semaine remonter. Ou si tu préfères une accoutumance émotionnelle à exagérée. Comme si je te poussais à boire chaque jour un verre de vin supplémentaire par rapport à la veille. Hors si tu ne bois plus un seul verre de vin durant 1 an, il y a de fortes chances qu'au premier repris tu es la tête qui tourne. Désolé pour l'image du VIN, mais c'est assez parlant je trouve. Un plongeur t'aurait parlé de l'accoutumance au Co2 avec la profondeur.
L'option je reformule un objectif n'est pas une obligation, c'est une option. Tu peux continuer à résister avec le couteau entre les dents. Mais bon quand on prend le bouillon au golf parfois mieux vaut se relaxer et terminer tranquille. Tu pourras toujours revenir le lendemain.

La neurogenèse je crois que c'est uniquement dans un partie spécifique du cerveau au niveau de l'hippocampe. Partout ailleurs je ne pense pas que cela existe. Et effectivement les neurones dégénérés ou isolés meurent. Seuls ceux qui sont connectés vivent. Par contre il est possible que tu parles des connections synaptiques qui elles se multiplient à la demande en fonction des nouvelles tâches à apprendre dans nos vies de tous les jours. Les synapses en sommeil ou labiles sont effectivement opérationnelles mais ne se reproduisent pas. Elles se connectent c'est tout mais c'est déjà pas mal...C'est même miraculeux.