Pourquoi le grip de putting est il si différent ?

Quand on swingue (en droitier) la main gauche tient le grip et la main droite la recouvre.
Au putting,c'est souvent l'inverse avec l'index de la main gauche qui recouvre la main droite.
Pourquoi ?
Je pose cette question car actuellement pour moi c'est main droite par dessus la main gauche et franchement ça le fait bien.
Et on reste dans cette cohérence que son putting c'est son swing en modèle réduit.On a pas à aller chercher des sensations différentes pour tous les secteurs de jeu.Le golf est suffisement compliqué alors quand on peut simplifier ça me convient.

Le grip de grand jeu autorise une rotation de la face de club ce qui est source d'irrégularité au putting.

Le Belly putter, il n'y a pas de rotation de la face de club?

Et pourquoi donc n'y en aurait il pas ???

Pour Jako : Belly c'est un pendule ! square tout du long...
greg sinon a raison.

J'ai pas le même grip aux approches non plus, mais c'est ptet plus perso...
Pas tout à fait le même grip au drive, non plus...

Jako a écrit:Le Belly putter, il n'y a pas de rotation de la face de club?

L'avantage du Belly Putter est justement de supprimer toute possibilité de rotation des avant bras.

Christophe a écrit:Pour Jako : Belly c'est un pendule ! square tout du long...
greg sinon a raison.

J'ai pas le même grip aux approches non plus, mais c'est ptet plus perso...
Pas tout à fait le même grip au drive, non plus...

Je voyais bien le pendule avec le long lutter mais pas avec le belly qui est moins vertical.

Jako a écrit:

Christophe a écrit:Pour Jako : Belly c'est un pendule ! square tout du long...
greg sinon a raison.

J'ai pas le même grip aux approches non plus, mais c'est ptet plus perso...
Pas tout à fait le même grip au drive, non plus...

Je voyais bien le pendule avec le long lutter mais pas avec le belly qui est moins vertical.

avec un belly, la face reste square mais le corps tourne alors qu'avec un long putter s'est tout en ligne.
J'ai essayé le long putter de Patten' et j'ai trouvé ça très performant. Facile à utiliser pour les courts/moyens putts et pour les longs putts, il faut avoir un bon feeling.

Pendule ou pas pendule ça dépend si on tourne le haut du corps ou pas. Mais du fait du point fixe, pas de rotation des avant bras et déplacement symétrique du club.. Voila.

En dehors du fait que le grip doit empêcher la rotation de la face de club, il doit aussi permettre une frappe horizontale avec un chemin de club symétrique, et un ressenti du poids du club, ressource essentielle pour doser efficacement.

Et on reste dans cette cohérence que son putting c'est son swing en modèle réduit.On a pas à aller chercher des sensations différentes pour tous les secteurs de jeu.Le golf est suffisement compliqué alors quand on peut simplifier ça me convient.

Voici le genre de phrase que l'on entend souvent. C'est complètement faux. L'objectif au putting est de faire rouler la balle tout droit, en réduisant la possibilité d'effet sur la balle pour optimiser le roulement et le dosage. Il faut donc réunir au moins deux conditions mécaniques : une frappe square, et qui se déplace en ligne droite à l'impact, ce qui est très différent d'un impact par n'importe quel autre club. Dès lors, mécanique différente = technique différente.

Laurent Jockschies a écrit:

Et on reste dans cette cohérence que son putting c'est son swing en modèle réduit.On a pas à aller chercher des sensations différentes pour tous les secteurs de jeu.Le golf est suffisement compliqué alors quand on peut simplifier ça me convient.

Voici le genre de phrase que l'on entend souvent. C'est complètement faux. L'objectif au putting est de faire rouler la balle tout droit, en réduisant la possibilité d'effet sur la balle pour optimiser le roulement et le dosage. Il faut donc réunir au moins deux conditions mécaniques : une frappe square, et qui se déplace en ligne droite à l'impact, ce qui est très différent d'un impact par n'importe quel autre club. Dès lors, mécanique différente = technique différente.

Merci LJ !
Je pensais la même chose, mais sans vraiment "oser", car (simplement) influencé par trop d'infos le disant.
Pour paraphraser un auteur connu : "ce n'est pas parce qu'une information fausse est répétée souvent qu'elle devient vraie" !

Stan Utley, qui prône un putting sur la base d'un swing en modèle réduit (face de club qui s'ouvre et se ferme par rapport à la ligne de jeu) reconnait qu'il est contraint d'avoir une position de balle très précise par rapport au centre de swing, donc une position stricte des angles du corps et de l'écartement des pieds. Or la balle et les pieds ne reposent quasiment jamais sur une même zone plane ce qui rend cette conception compliquée.