Dégrippage au sommet du backswing et conséquences

Ceux qui me connaissent (et qui m'ont vu !) ont remarqué que mon swing de l'année dernière était bien mieux que mon swing cet été, où je me retrouve à swinguer très très très mais alors très flat, avec tous les problèmes que ça engendre.
Ben je crois avoir trouvé la cause primaire : je lâche le club au sommet du backswing.
En faisant attention de bien tenir le grip, il devient physiquement impossible de monter trop flat (ça tire très fort dans le bras gauche). Du coup je retrouve des sensations, et mes erreurs se payent surtout beaucoup, beaucoup moins cher

Tu crois que Jimenez ou Kuchar lâche le grip en fin du BS!!!!, cela me paraît une rustine qui va te convenir pendant quelque temps.

Birdy a écrit:Tu crois que Jimenez ou Kuchar lâche le grip en fin du BS!!!!

Je crois que personne ne lâche le grip en fin de BS. Ou alors tu as mal formulé ta phrase

Birdy a écrit:cela me paraît une rustine qui va te convenir pendant quelque temps.

Et du coup, pour moi, ce n'est pas une rustine (dans le sens bricolage temporaire) mais bel et bien une chose à intégrer définitivement.

Valoche a écrit: je lâche le club au sommet du backswing. En faisant attention de bien tenir le grip, il devient physiquement impossible de monter trop flat

J'ai juste lu cela!!!

Qui te dit qu'ils sont "trop" flat les Jiménez ou Kuchar ???
ils sont flat peut-être ?

l’allongement du pouce doit te permettre de gérer une certaine latitude de "flat" non ?

Quel pouce ? J'arrête de dégripper -> mon swing n'est plus trop flat -> je joue bien mieux parce que mes coups ratés ne sont plus catastrophiques.

Ils adorent rester grippés et le justifient

Valoche a écrit:Ceux qui me connaissent (et qui m'ont vu !) ont remarqué que mon swing de l'année dernière était bien mieux que mon swing cet été, où je me retrouve à swinguer très très très mais alors très flat, avec tous les problèmes que ça engendre.
Ben je crois avoir trouvé la cause primaire : je lâche le club au sommet du backswing.

pour t'avoir vu jouer ces dernières semaines, je suis OK sur le swing très (trop !?) flat....! en revanche, je ne vois pas bien le lien de cause à effet avec le fait de lâcher le grip au sommet : en quoi cela rend ton plan de swing (encore) plus flat ? par ailleurs, si tu retrouves une certaine régularité en veillant à ne pas lâcher le grip, n'est-ce pas simplement et finalement car tu réduis ton backswing (indépendamment de son plan).

C'est juste que le grip c'est super important :p

darelbaida a écrit:pour t'avoir vu jouer ces dernières semaines, je suis OK sur le swing très (trop !?) flat....! en revanche, je ne vois pas bien le lien de cause à effet avec le fait de lâcher le grip au sommet : en quoi cela rend ton plan de swing (encore) plus flat ? par ailleurs, si tu retrouves une certaine régularité en veillant à ne pas lâcher le grip, n'est-ce pas simplement et finalement car tu réduis ton backswing (indépendamment de son plan).

Ma tendance à être flat, c'est parce que quand t'es flat, c'est plus facile pour accélérer à fond dans la balle, tout simplement. Lâcher le grip au sommet permet d'être encore plus flat que flat, sans effort, et surtout sans connexion du bras gauche.
En revanche, bien tenir le grip entraîne une impossibilité de continuer à tourner à plat sans ressentir une grosse tension dans le bras gauche. Le seul moyen de faire une rotation complète, c'est d'être sur le bon plan, avec une bonne connexion du bras gauche pendant la montée.

Je te montrerai la prochaine fois qu'on se verra, tu comprendras plus facilement qu'avec mes explications fumeuses

Valoche, ton problème au golf n'est pas le grip.

C'est ça :

Valoche a écrit:c'est plus facile pour accélérer à fond dans la balle, tout simplement.

Je sais que tu n'es pas ok avec cela mais le jour où tu seras capable d'en mettre un peu moins alors tu auras une régularité à la hauteur de ton investissement (en parcours et en cours).

Bof on peut monter haut, laisser tomber les bras dans le plan et envoyer à donf (pas obligé de rester dans le même plan tout le temps). Furyk n'est pas le plus long PGA mais il envoie à 260 au moins, en faisant ça.

Contrairement à Furyk, on ne tape pas des centaines de balles par jour...

Pour d'autres raisons, j'ai de temps en temps la main gauche qui s'ouvre en haut du bs, je vois parfois la tête de mon club de l’œil gauche, pas très grave, j'ai un bras droit "à la Popeye" qui arrive à ramener tout çà "convenablement".

Hier à St Clair, je me suis focalisé sur les pressions des 3 derniers doigts de la main gauche (surtout le petit doigt).

Chez moi, çà influe sur les trajectoires, plus je serre, plus çà tend vers le draw, et inversement vers le fade.

Trajectoires citées pas très prononcées, le gros Mistral y était sans doute pour beaucoup), mais bien présentes.

Assez sympa et facile à faire, à tester...

Pour le plan, j'en sais rien, il aurait fallu une vidéo. 

Pattenzinc a écrit:.../.... j'ai un bras droit "à la Popeye" qui arrive à ramener tout çà "convenablement".

C'est pas étonnant. Il y a plein de protéines dans les morilles.

Naturo a écrit:Valoche, ton problème au golf n'est pas le grip.

C'est ça :

Valoche a écrit:c'est plus facile pour accélérer à fond dans la balle, tout simplement.

Je sais que tu n'es pas ok avec cela mais le jour où tu seras capable d'en mettre un peu moins alors tu auras une régularité à la hauteur de ton investissement (en parcours et en cours).

C'est certain qu'on est rarement obligé d'accélérer à fond, sauf en tentative de concours de Drive !

Christophe a écrit:Bof on peut monter haut, laisser tomber les bras dans le plan et envoyer à donf (pas obligé de rester dans le même plan tout le temps). Furyk n'est pas le plus long PGA mais il envoie à 260 au moins, en faisant ça.

Vaut peut-être mieux maitriser un swing avec de légères compensations (mais facilement répétable) que de chercher en vain le swing parfaitement neutre sur tous les points !
Par ex. face fermée en haut du BS n'est pas forcément un pb pour les Tour PROS.
Idem pour le plan de swing au BS (une large tolérance reste gérable à leur niveau)...

Par contre, plus on se rapproche de la zone d'impact ... et plus il faut être vraiment dans les clous pour performer

se rappeler de trouver un modèle de pro correspondant à son profil physique c'est important aussi, ça aide beaucoup. J'ai regardé le swing du grand anglais filiforme David Lynn, qui swingue "thin easy", ma précision a très grandement augmenté récemment et c'est fou de voir qu'on perd pas en distance en optant pour du lent et large vs du rapide étroit. Toi valoche tu peux prendre qui ? tu es peut-être inimitable ou inimitateur...